Notre responsable mission :

Tünde Lamboley, pasteure ‭‭079 885 00 29‬ envoyez-lui un email

Action de Noël : Rwanda: la base, c'est l'éducation !

Madame, Monsieur

Depuis que nous sommes enfants, on nous répète à quel point aller à l'école est essentiel pour construire son avenir. Au Rwanda, malgré des avancées importantes ces dernières années et un engagement fort des autorités, de profondes lacunes demeurent dans la qualité de l'enseignement, surtout dans les régions décentralisées et isolées. Nous faisons aujourd'hui appel à votre générosité !

Les obstacles sont nombreux : un nombre d'enseignant·es qualifié·es largement insuffisant, des infrastructures vétustes et ne répondant pas aux normes minimales de sécurité et d'hygiène, du matériel manquant, des classes surchargées.

Pour faire face à ces défis et répondre au mieux aux besoins des communautés, l'Église presbytérienne au Rwanda (EPR) s'engage sans relâche et gère 255 établissements scolaires. Très souvent, ces établissements sont seuls sur plusieurs kilomètres et représentent donc l'unique opportunité pour les enfants d'accéder à l'école.

En faisant un don pour ce projet, vous contribuez à :

* Une meilleure formation pour les enseignant·es, pour qu'ils et elles puissent offrir un enseignement de qualité, avec des approches pédagogiques adaptées aux besoins des élèves et aux contraintes du milieu.

* Des infrastructures scolaires rénovées et sécurisées, offrant un environnement d'apprentissage sain et propice à l'épanouissement des élèves

* Un accompagnement des élèves pour faire face aux défis qu'ils et elles rencontrent, qu'ils soient d'ordre personnel, social ou scolaire.

Nous avons besoin de vous pour faire de cette vision une réalité. Ensemble, nous pouvons contribuer à offrir à ces enfants l'opportunité de s'épanouir et de se préparer à un avenir plus prometteur.

Je vous remercie d'avance pour votre générosité et votre solidarité, et vous adresse mes meilleurs messages,

Priscille Girardet Sokpoh (Responsable partenariat Rwanda)

Belém discute,

Genève manifeste

Bonjour, 

Du 10 au 21 novembre 2025, le Brésil accueillera la 30e Conférence des Nations Unies sur le climat (COP30) à Belém, proche du fleuve Amazone. Les représentant·e·s de près de 200 pays négocieront les prochaines étapes de la protection mondiale du climat. L’accent sera mis sur des objectifs climatiques ambitieux et sur le financement de mesures visant à s’adapter aux conséquences du réchauffement planétaire et à réparer les dommages liés au climat. 

Pour Vicente Puhl, directeur pays de l’EPER au Brésil, la COP30 est cruciale : « Les conséquences du déséquilibre écologique se font sentir depuis longtemps. Si nous n’agissons pas maintenant, demain il sera trop tard. » Présent lors de la conférence, Vicente Puhl abordera l’impact des accords de libre-échange sur les droits humains. L’EPER et ses organisations partenaires au Brésil s’engagent pour que la nature et les communautés autochtones et locales obtiennent enfin la reconnaissance qu’elles méritent dans la protection du climat à l’échelle internationale. 

Pour pouvoir s’adapter au réchauffement de la planète et réparer les dommages subis, les personnes touchées dans les pays du Sud ont besoin d’un soutien financier. Lors de la dernière Conférence des Nations Unies sur le climat, il a justement été décidé que les pays industrialisés verseraient USD 300 milliards par an aux pays les plus précarisés à partir de 2035. Mais ce montant est loin d’être suffisant : les besoins réels s’élèvent à environ USD 1300 milliards. La COP30 a donc pour mission de combler cette énorme lacune. Or, cela ne sera possible que si les entreprises qui ont contribué à la crise climatique paient également. Les gros pollueurs doivent assumer leurs responsabilités – Make Polluters Pay! 

Alors que les chefs d’État et de gouvernement se réunissent à Belém, la pression monte également en dehors de la conférence : une journée d’action mondiale aura lieu le 15 novembre.

Les femmes touchées de près par les changements climatiques

Les femmes sont particulièrement touchées par le réchauffement climatique, car il affecte surtout les personnes qui portent déjà un fardeau important en raison des tâches qu’elles assument. Lisez ici les histoires de quatre femmes au Bangladesh et en Indonésie et découvrez comment elles gèrent cette double peine, en trouvant leurs propres solutions pour contrer les répercussions des changements climatiques. 

Encerclées par un désert vert

Ailleurs aussi, les femmes portent de multiples fardeaux : au Cameroun, les plantations industrielles ne cessent de s’étendre. Les femmes perdent les terres qui nourrissaient leur famille et sont de plus en plus exposées aux violences sexuelles. Toutefois, elles commencent à se défendre, grâce au soutien du Réseau des Acteurs du Développement Durable (RADD), une organisation partenaire de l’EPER. Les femmes touchées de près par les changements climatiques

Les femmes sont particulièrement touchées par le réchauffement climatique, car il affecte surtout les personnes qui portent déjà un fardeau important en raison des tâches qu’elles assument. Lisez ici les histoires de quatre femmes au Bangladesh et en Indonésie et découvrez comment elles gèrent cette double peine, en trouvant leurs propres solutions pour contrer les répercussions des changements climatiques. 

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Annonce de collecte 

L'EPER œuvre pour le droit à la terre et à l'alimentation

L'EPER accompagne des personnes qui luttent pour leurs droits et pour vivre dans la dignité. C'est notamment le cas de Dona Jovita, une cueilleuse de fleurs vivant dans le Cerrado brésilien. La communauté de cueilleuses et de cueilleurs de fleurs dont elle fait partie s'engage pour la reconnaissance de ses zones de cueillette traditionnelles, et donc pour les revenus et les droits de ses membres. Car leurs moyens de subsistance sont menacés par les grands projets agro-industriels, l'exploitation minière, les monocultures et l'accaparement des terres.

En 2020, la communauté cueilleuse de fleurs a obtenu un succès majeur: son mode d'exploitation a été désigné par l'Organisation des Nations Unies comme un « Système ingénieux du patrimoine agricole mondial ». Cette étape importante lui permet d'assurer son existence.

L'EPER est aux côtés de personnes comme Dona Jovita dans le monde entier. En faisant un don, vous soutenez son engagement pour un monde pacifique et juste. Merci du fond du cœur pour votre soutien.

Compte pour les dons : IBAN CH61 0900 0000 1000 1390 5

Mention : « 225238 Campagne nationale 2025»

Campagne d’automne 2025

 

Cet automne, la Campagne DM 2025 vous emmène à la découverte des deux axes du travail de l’Eglise de Jésus-Christ à Madagascar (FJKM) partenaire de DM: un engagement pour une éducation de qualité pour les élèves en zone rurale et la formation en missiologie pour les étudiant.es de 3ème année en théologie.

Dans le domaine de l’éducation, la collaboration entre DM et l’Église de Jésus Christ à Madagascar (FJKM) s’inscrit dans le cadre d’un programme qui vise à renforcer la qualité de l’éducation. Ce programme se concentre sur plusieurs axes clés : l’amélioration de la formation des enseignant.es pour assurer un encadrement pédagogique de qualité, la mise aux normes des infrastructures scolaires pour garantir un environnement d’apprentissage sécurisé et adapté, ainsi que l’instauration de modèles de gestion durables pour chaque établissement, tout en veillant à ce que les écoles soient solidement intégrées dans leur environnement local.

L’autre volet de collaboration consiste à l’appui à la formation et dynamique communautaire: offrir aux étudiante.es en théologie une formation théorique intensive de quatre semaines en matière de psychologie sociale, écoute effective, communication, médiation et gestion des conflits, mission urbaine ou encore toxicomanie. Qui se prolonge par des travaux pratiques sur le terrain, en ville (dans les boîtes de nuit, points névralgiques de la drogue et de la prostitution, en milieux hospitalier et carcéral) mais également dans des zones éloignées ou enclavées.

Cliquez sur le logo pour en savoir plus

Soutenez le plus possible l’association en visitant son site internet !

Nous les soutenons aussi activement !

Chères amies, chers amis

Minyara, un village d'environ 5'000 habitant.es dans le nord du Liban, à quelques kilomètres de la frontière avec la Syrie. Dans cette région la plus pauvre du pays, un lieu pas comme les autres redonne chaque jour un peu d'espoir. C'est le Centre social et culturel de l'Église presbytérienne soutenue par l'Action chrétienne en Orient (ACO) et DM.

Le centre est au service de toutes. À tout âge, on y vient pour apprendre, être soigné.es, faire du sport ou de la musique, acheter des habits de seconde main et des biens à prix solidaire, lire et échanger. Et ce n'est pas tout : l'Église gère aussi un espace éducatif pour 65 enfants réfugié.es syrien.es et libanais.es en décrochage scolaire. Cours de base, repas, jeux, suivi médical et accompagnement psycho-social sont au programme dans un cadre bienveillant.

Aujourd'hui, l'Église a un nouveau projet essentiel: agrandir le Centre social et culturel pour offrir un espace dédié aux enfants. Un lieu où ils et elles pourront se retrouver, jouer, s'exprimer, rêver à nouveau. Nous avons besoin de vous pour le concrétiser.

La grande pauvreté de la région touche toutes les populations et tous les domaines de la vie quotidienne. Les besoins sont immenses et l'Église joue un rôle essentiel pour y répondre. Elle s'engage auprès des populations, fait le pont entre les générations et les communautés. Elle permet une respiration dans un quotidien marqué par les incertitudes et la précarité. Merci d'avance pour votre soutien !

À quatre heures de route, à Anjar, un autre projet prend racine. Ici aussi la frontière syrienne est proche et les tensions géopolitiques qui secouent la région jamais loin. Les cris des enfants qui jouent résonnent dans le village. L'Union des Églises arméniennes du Proche-Orient (UAECNE) y a une école secondaire et un internat qui accueille des jeunes des banlieues défavorisées de Beyrouth. Avec le soutien de DM, l'école développe un jardin agroécologique destiné à nourrir les élèves, à les former et à promouvoir une alimentation saine et durable alors que le Liban est plongé dans une crise sans précédent. Cultivé par les élèves, les enseignant.es et les habitant.es du village, c'est plus qu'un jardin. C'est un terrain d'apprentissage, de solidarité et de résilience.

Que ce soit à Minyara ou à Anjar, au Liban, en Syrie, en Iran ou en Irak, les Églises membres de l'Action chrétienne en Orient s'engagent activement auprès des communautés, en particulier les plus vulnérables. En plus des aspects spirituels et théologiques, elles mettent en place des actions sociales, essentielles. Grâce à ces projets, enfants, jeunes, personnes âgées et réfugié.es ne sont pas seules.

Les besoins explosent et les ressources manquent.

Votre soutien peut faire toute la différence. Un grand merci d'avance !

Avec mes salutations estivales,

Karen Bernoulli

Aidez-nous également à soutenir

la Maison de Vie

un projet intéressant au Congo (ex-Zaïre)

en cliquant sur le logo,

vous parviendrez à leur site

pour plus d’informations

Nos œuvres d’entraide viennent de publier

leurs rapports annuels 2024

cliquez sur le logo qui vous intéresse ;-)

DM - dynamique dans l'échange

est l’organisme officiel de nos Églises de Suisse romande

qui entretient des contacts en notre nom avec les Églises partenaires à l’étranger …

DM - dynamique dans l'échange

envoie aussi des personnes pour des missions particulières auprès de ces partenaires : vous pourrez découvrir leurs expériences en cliquant sur l’image ci-contre …

Nous sommes très reconnaissant-e-s pour ce travail que nous, comme paroisse, ne pourrions évidemment pas faire aussi bien !

Il y a peut-être d’autres choses pour la mission à découvrir en suivant ce lien